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Gras et protéines, inséparables ! (Sarah)

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Gras et protéines inséparables

Voici un article de Sarah que je vous invite à suivre sur sa page Facebook Céto, carni, jeûne, longévité Sarah Do. Elle me fait l’honneur d’accepter que je partage ses recherches sur mon blog et elle intervient également sur le groupe Facebook Céto club & Co.

L’insuline, les calories

On sait que les glucides génèrent un gros pic d’insuline, les protéines un petit peu, que manger sans cesse entretient l’insuline aussi tout comme faire un gros repas le soir, après la nuit.
Mais, les lipides ??? Eh bien ils n’ont aucune influence sur l’insuline. Excellente nouvelle. Les dernières études qui seront publiées dans quelques jours, le démontrent sans conteste. Et même en quantité assez importante.
Néanmoins, en alimentation cétogène, comme je dis, on ne compte pas les calories, mais les calories comptent. Bien sûr, leur origine d’abord: glucides, protéines ou lipides.
Les protéines ne devraient, elles, même pas comptées. Ça c’est posé. Et comme je l’ai répondu à pas mal mais je développerai ailleurs, il faut au minimum 90 g de protéines par jour, et plutôt 120 g. Pour un homme grand et fort ou une personne sportive, 160 g de protéines sont suffisantes pour cet apport d’acides aminés. Donc, elles sont un but à atteindre, voir à dépasser un peu.
Les glucides restent à 20g maximum.
Et les lipides ? Certes, c’est vrai comme je l’écrivais, qu’un minimum de 40 g peut suffire, mais en fait c’est une quantité de survie. Les lipides ne doivent néanmoins pas être mangés n’importe comment et ont une limite selon l’alimentation.
Donc, en céto, (ce qui nous concerne), quand on commence….on mange 1,5 g de lipides pour 1 g de protéines. Mais ça ne veut pas dire, boire de l’huile, du beurre fondu, de la crème dans le café, le thé…

Les lipides et les protéines

On mange les lipides en même temps que les protéines (d’où le titre de cet article : gras et protéines inséparables). Donc soit du beurre frais avec l’aliment protéique, soit la graisse de cuisson versée dans l’assiette, ou un peu de crème ou de fromage fondu (Ces derniers, pas tout le temps). Alors, oui au tout début, pour éviter la collation parce qu’on n’a pas évalué à satiété le repas d’avant, c’est une béquille pour ne pas manger et faire monter l’insuline.
Mais quelques jours. Les lipides vont avec les protéines, comme dans la nature. Ensuite, une fois en cétose, et rodée 😉, on peut baisser à un ratio de 1 pour 1.
Absolument nécessaire pour l’absorption et la transformation des acides aminés.
Les femmes ménopausées seront généralement mieux avec ce ratio. Ainsi, les mitochondries, le système hormonal seront au taquet. Il y aura découplage des mitochondries qui brûleront davantage d’énergie. Donc les graisses se libèrent…bien sûr, on ne fait que 2 repas par jour, 3 maxi au début. Et on limite quand même le temps d’alimentation à 8h.
Ces chiffres sont pour un céto avec jusqu’à 20 g/30 g de glucides.
Maintenant, si vous êtes plutôt ketovore (carnivore céto), il est recommandé plutôt 1,5 g de lipides pour 1 g de protéines.
Voilà, je me devais de faire la mise au point. Nous avançons toutes et tous, les chercheurs, médecins aussi.
Ensemble, Nous allons plus loin.
Merci d’avoir lu ce roman. 🙏
Si questions, je répondrais bien sûr. 😊
J’espère néanmoins que c’est assez clair pour vous.
Et avec tout ça, vous aurez compris que le céto n’est pas si compliqué et que les pourcentages ne tiennent pas la route.
Nous ne sommes pas des machines thermodynamiques. 😉
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