L’alimentation cétogène défie la médecine moderne : cœur, cerveau, diabète… et s’il fallait tout revoir ?
Dans le grand feuilleton des régimes alimentaires, le céto tient le premier rôle depuis quelques années. Tantôt star adulée, tantôt accusé de tous les maux, il fait couler beaucoup d’encre (et parfois un peu de sueur). Mais les dernières recherches scientifiques sont formelles : il va falloir réécrire quelques chapitres de la médecine moderne. Oui, le gras revient, non pas en douce, mais en grande pompe. Et voici trois études toutes fraîches, publiées en 2025, qui changent la donne sur trois terrains inattendus : le cœur, le cerveau et le diabète. Prêt(e) à faire fondre les idées reçues ? C’est parti.
Cholestérol haut ? Et alors ? Le cœur s’en fiche !
Des chercheurs ont observé un truc fou : certaines personnes qui mangent céto depuis des années affichent un cholestérol qui culmine au plafond… mais dont les artères, elles, restent clean. Oui, propres comme un lavabo tout juste récuré. Résultat : malgré les scores flippants sur papier, leur cœur bat la chamade… de bonheur. Moralité ? Peut-être qu’il faut arrêter de paniquer devant un taux élevé de LDL quand on est céto. Et préférer une bonne image du cœur plutôt que des gros titres alarmants.
Cholestérol élevé sur céto ≠ crise cardiaque annoncée (étude)
Sclérose en plaques : et si le gras calmait le feu ?
Des chercheurs ont fait suivre un régime Atkins (cousin du céto) à des patients atteints de sclérose en plaques. Et là, surprise ! Les cellules immunitaires en guerre se sont mises à se détendre, les inflammations à s’apaiser et les défenses à mieux se réguler. En gros, le système immunitaire a arrêté de jouer au Rambo et tout le monde a respiré un peu mieux. Comme quoi, parfois, le gras ne nourrit pas le feu… il l’éteint.
Le céto change les cellules immunitaires chez les patients SEP (étude)
Céto en DT2 ? Et si c’était mieux que des médocs ?
Une revue très sérieuse a tout passé au crible : perte de poids, glycémie, énergie, moral, inflammation… et conclusion choc : le régime cétogène pourrait rivaliser avec certains traitements contre le diabète de type 2. Mieux : dans certains cas, il permet carrément de poser les médocs. Tout ça en mangeant gras. Pas gras comme dans junk food, hein. Gras comme dans avocat-saumon-coco. Le tout sans fringale. Bref, le céto n’est pas une punition, c’est une prescription.
Le céto pour remplacer les médicaments du diabète ? (étude)
Le gras prend sa revanche
Autrefois banni, aujourd’hui réhabilité, le gras se défend plutôt bien. Trois études, trois univers médicaux et une constante : quand elle est bien utilisée, l’alimentation cétogène apaise, protège, améliore. Et si on arrêtait de la voir comme une menace et qu’on commençait à l’envisager comme un outil thérapeutique à part entière ? À condition, bien sûr, de la pratiquer proprement, intelligemment et avec un peu d’huile… de coco.
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