Miraculée d’un accident de voiture

On pourrait l’appeler la survivante aux mille vies. Françoise, 59 ans, ancienne infirmière, a connu le pire… et s’est relevée plus forte que jamais. Un jour, tout a basculé : un choc frontal violent, des heures de désincarcération, des fractures partout, un traumatisme crânien, trois mois d’hôpital, un an de centre de rééducation, et des années de kiné pour réapprendre à marcher, à utiliser sa main, à penser clairement.
Mais derrière les cicatrices et les douleurs chroniques, il y a toujours eu cette sportive dans l’âme. Avant l’accident, elle courait, bougeait, vivait à fond. Après ? Les kilos s’installent, la tension grimpe, le risque de diabète se profile. C’est là qu’elle découvre le jeûne intermittent, puis, au fil de ses lectures, l’alimentation cétogène.
« Je me suis dit : tu ne risques rien d’essayer. Et là… révélation ! »
Une renaissance physique et mentale

En quelques mois, les résultats explosent : 18 kilos envolés, la tension revenue à la normale, les douleurs articulaires nettement réduites, et surtout… un cerveau réveillé.
Fini le brouillard mental, les coups de pompe, l’humeur morose :
« J’avais une énergie que je ne connaissais pas. Une clarté d’esprit incroyable. Je pouvais lire deux heures d’affilée sans relire la même page trois fois ! »
Retour au sport… version warrior

Aujourd’hui, Françoise pratique… le kayak en rivière vive, la boxe (avec interdiction de lui toucher la tête), le vélo, la marche en forêt… et même la chasse aux champignons sur terrain accidenté. Preuve qu’avec le bon carburant, tout redevient possible.
Voici une recette que j’ai faite avec des champignons séchés qu’elle m’a envoyés un jour. Magnifique, un cadeau extraordinaire venu de ses pérégrinations dans les bois d’automne !
Un impact au-delà de sa santé
Le céto n’a pas seulement transformé son corps : il a aussi changé ses bilans médicaux. Ses seins, autrefois à haut risque (ACR4), sont désormais classés ACR2. Son médecin, d’abord sceptique, est devenu un soutien. Sa fille, ses amis, et même un camarade de kayak diabétique, ont adopté le low carb ou le céto après l’avoir vue rayonner.
Et quand on lui demande si elle dévie parfois ?
« Impossible. Je fais la balance bénéfice/risque : la liberté que m’apporte cette alimentation vaut bien plus que quelques pommes de terre. »
Un mot pour conclure
Françoise vit aujourd’hui sans douleurs constantes, avec un moral d’acier et une vitalité qui impressionne. Son témoignage est celui d’une femme qui a refusé de se laisser définir par ses blessures.
« Si mon histoire peut convaincre ne serait-ce qu’une personne d’essayer… alors tout ça aura un sens. »
Ici vous trouverez l’interview de notre Françoise dont est tiré cet article.
De plus vous pouvez lui poser des questions en rejoignant le groupe Céto club & Co. qui se trouve sur FB.









































